samedi 28 avril 2007

Faut-il avoir peur de Google ?

La chaîne franco-allemande nous a habitué à proposer des excellents programmes très intéressants cette fois-ci c’est une documentaire sur Google et sur tous les questions et les craintes qu’il provoque.

THEMA: Vendredi 20 avril à 22.10

Faut-il avoir peur de Google ?

Un documentaire de Stéphane Osmont et Sylvain Bergère

Google en sait plus sur vous que vous en savez sur Google

(France, 2007, 87mn), ARTE F
Réalisateur: Stéphane Osmont, Sylvain Bergère
Multidiffusion le 23 avril à 1.25

Une enquête aussi sérieuse que ludique sur le phénomène Google : entreprise à la réussite fulgurante, qui malgré ses principes démocratiques du partage du savoir, inquiète par sa situation de monopole.

C'est aujourd'hui le moteur de recherche le plus utilisé au monde, la réussite la plus fulgurante de l'histoire de l'économie : en réalisant les données diffusées sur Internet auxquelles elle donne accès gratuitement, Google a conquis le monde de l'information en moins de huit ans. Une histoire qui a déjà tout d'une légende : ses fondateurs, Sergey Brin et Larry Page, petits génies de l'informatique d'à peine 24 ans, abandonnent leurs études à l'université de Stanford pour créer en 1998 leur propre entreprise dans un hangar. A priori, rien d'extraordinaire à l'époque où la bulle Internet explose. Mais, alors que les autres start-up misent sur les portails et les services Web, les deux compères, dans l'esprit d'innovation et de rébellion propre à leur ville, San Francisco, s'attèlent à développer un moteur de recherche puissant basé sur les algorithmes et développent des liens sponsorisés pour ne pas polluer leur page d'accueil d'un blanc immaculé… Leur philosophie se veut éthique et anticonformiste, leur management basé sur la créativité de leurs employés et le refus des lois de Wall Street. Un modèle de société néanmoins très capitaliste et dont la culture du secret inquiète. Car, outre les annonceurs préoccupés par es fraudes au clic, nombreux craignent ses dérives à l'encontre de la propriété intellectuelle et des libertés privées, notamment depuis son entrée en Chine… Peut-on alors décemment croire, comme le clame son slogan, que Google ne fait pas le mal ?.

Google brother ?

Fouillée, aussi sérieuse dans son propos que ludique visuellement, cette enquête sur le monstre Google retrace le fulgurant parcours d'une entreprise dont le monopole aujourd'hui inquiète. Dans un environnement animé en 3D aux allures de vortex technologique, David Wise, auteur de Google story, des professeurs, journalistes et anciens employés, encastrés dans des écrans, décryptent le phénomène. Avec, pour respirations réjouissantes, outre des publicités institutionnelles de la marque, des vidéos circulant sur Internet. Des saynètes souvent cocasses tel ce paysan macédonien menaçant monsieur Google de partir chez Yahoo s'il ne lui trouve pas une femme ou ces clips loufoques de chansons moquant joyeusement les jeunes accros de la marque.


Intervenants

Sergei Brin, Larry Page
Vise, auteur « Google Story »
John Markoff, journaliste NY Times
Cheriton, Prof en informatique à Stanford
Franck Poisson, ex DG de Google
Brad Templeton, Président Electric Frontier Fondation
Paul Rabinow, prof d’anthropologie
Daniel Rommel, Avocat
Mark Jen, Product Line Manager, Bloggeur licencié
Jessie Stricchiola, Fondatrice de Alchemist Media
Larry Harvey, Créateur “the burning Man”
Bruno Patino, Lemonde.fr, Telerama
Jean Noel Jeannenay, Président BNF
Francis Pisani, Journaliste Le monde, Blog Transnet
Pierre Louette, PDG AFP
Xiao Qiang, Rédacteur en chef de Chinas Digital Times

Téléchargement légal : un marché en pleine maturation

Les plates-formes légales de téléchargement de musique vont-elles constituer de vrais relais de croissance pour l'industrie du disque ? Alors que les ventes physiques continuent de chuter au premier trimestre 2007, avec un recul de 25,6 % selon les derniers chiffres du Syndicat national de l'édition phonographique (Snep) le marché de la musique dématérialisée continue de progresser de 5,8 %. Un bon résultat qui reste encore trop faible pour espérer équilibrer la chute globale du marché.

Dans le rôle du sauveur, les plates-formes françaises s'en tirent cependant plutôt bien au regard des chiffres de croissance qu'elles communiquent. Le marché est en pleine maturation : les offres commencent à se structurer, les catalogues sont conséquents, la barrière des DRM tend à s'effriter et les prix sont appelés à baisser. Le point sur le positionnement et les résultats des principaux acteurs français.


Richesse du catalogue : la fin de la surenchère

Longtemps fer de lance de la communication des plates-formes de téléchargement légal, la profondeur des catalogues n'est désormais plus un facteur clé pour espérer faire la différence. "On n'est définitivement plus dans la course au catalogue", déclare Julien Ulrich, le directeur général de Virgin Mega.

Plus de course donc, mais tout de même un classement très en faveur d'iTunes, véritable locomotive du marché. Selon Peter Oppenheimer, le directeur financier d'Apple, iTunes propose désormais plus de 5 millions de titres aux Etats-Unis, soit l'équivalent de près de 30 années d'écoute non stop de musique. Largement de quoi en effet satisfaire les clients les plus gourmands.

itunes

Les concurrents français doivent donc s'accrocher pour suivre le rythme : Virgin Mega propose 2,3 millions de titres, Fnac Music suit avec 1,5 million de morceaux et MusicMe affiche un catalogue de 815.000 références. Un retard que Ludovic Leu, le co-fondateur de MusicMe justifie par le fait qu'il "n'a pas encore commencé à travailler avec les agrégateurs", ces intermédiaires qui rassemble de vastes catalogues de labels indépendants. A titre de comparaison, Virgin indique avoir signé plus de 50 contrats avec des agrégateurs.

MusicMe a d'ailleurs choisi de se concentrer uniquement sur la musique, alors que dans le même temps ses concurrents s'attaquaient au nouveau marché émergent de la vidéo à la demande. iTunes a été le premier à dégainer grâce aux bonnes relations de Steve Jobs, son fondateur, qui siège également au conseil d'administration de Disney. Aujourd'hui l'offre vidéo reste balbutiante, mais gagne en richesse.

La section vidéo d'iTunes qui ne sera ouverte en Europe qu'à la fin de l'année, offre à l'heure actuelle 350 épisodes de séries TV et 500 films. Bien avancé dans ce domaine, Virgin propose 5.000 clips vidéo et 1.200 films en VoD. Depuis novembre, la Fnac propose en partenariat avec Glowria 1.300 vidéos à la demande, en achat ou en location accessibles via un onglet dédié.

L'interopérabilité au cœur des stratégies

La richesse du catalogue n'est plus un argument aussi déterminant qu'auparavant, car les clients sont désormais plus sensibles à la question des DRM. "Nous ne menons pas un combat contre les DRM, mais pour l'interopérabilité", martèle Julien Ulrich. Il rejoint sur ce point Steve Jobs qui avait manifesté son hostilité à l'égard de ce qui à ses yeux constitue un frein au développement du marché.

En 2003, Virgin Mega avait intenté une action auprès conseil de la concurrence pour dénoncer le manque d'interopérabilité des fichiers AAC protégés d'Apple qui créait une situation de concurrence déloyale. Peine perdue, à l'époque le marché était balbutiant, pas de quoi susciter un débat soutenu. En 2006, Virgin propose 3 titres sans DRM pour prendre la température du marché. "Nous avons dû remuer ciel et terre pour les trouver, ironise le directeur général de Virgin Mega. C'était plus une question d'image que pour réaliser un test". L'image et le test ont dû être concluants, puisque mi-janvier 2007, 200.000 titres sans DRM ont été proposés à la vente. "On a même voulu ouvrir un site dédié à l'offre sans DRM", explique Julien Ulrich pour bien signifier l'importance stratégique de cet élément de choix.

fnac

Fnacmusic fait lui aussi les yeux doux au mp3 traditionnel sans mesure de protection. En janvier dernier, le service lançait un catalogue de 170.000 titres sans DRM issus de catalogues indépendants. 300.000 titres sans protection sont maintenant proposés. Des grands noms se prêtent au jeu : Miossec, The Pixies ou encore Franz Ferdinand sont de la partie. Résultats : Fnacmusic constate bel et bien une augmentation des téléchargements sur les titres sans DRM. Le poids des labels indépendants présent dans ce catalogue est ainsi passé de 5 à 10 %.

Mais c'est iTunes qui a encore une fois tiré les marrons du feu en arrivant à convaincre la major EMI de proposer l'ensemble de son catalogue sans DRM. VirginMega et Fnacmusic seront eux aussi de la partie, mais un peu plus tard : courant mai pour Virgin, avec "le même type d'offre que celle proposée par Apple", selon Julien Ulrich. La Fnac ne précise pas de date bien qu'elle se félicite de cette avancée.

Chez MusicMe, il n'est pas question d'abandonner les DRM. Très loin d'être une position dogmatique, cette volonté est liée au modèle économique de la plate-forme qui ne propose que des offres de téléchargement illimité pour un montant forfaitaire. Dès que l'abonnement est interrompu, les morceaux téléchargés disparaissent du disque dur. Une spécificité technique rendue possible uniquement grâce aux DRM. Ludovic Leu se veut tout de même rassurant : "25 baladeurs sont compatibles avec notre offre".

Un marché toujours en croissance

Côté chiffres, iTunes continue de caracoler en tête des classements des meilleurs vendeurs de musique numérique. Apple indique avoir franchi le cap des 2,5 milliards de morceaux vendus depuis 2003 dans le monde, et avoir enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 35 % sur un an. Dans le même temps, la marque à la Pomme indique qu'elle a distribué 50 millions de séries TV et 1,3 million de films. Aucun chiffre n'est cependant dévoilé pour le marché français.



Avec ses 2 millions de visiteurs uniques mensuels, VirginMega annonce de son côté avoir vendu 7 millions de titres en 2006, contre 5 millions en 2005, soit une augmentation de 40 %. L'essentiel de la croissance a été réalisée au cours du premier semestre. 100.000 vidéos ont également été vendues sur les 6 derniers mois. "Avec 22 % de parts de marché, nous nous plaçons en deuxième position du marché derrière iTunes", affirme Julien Ulrich, le directeur général de la plate-forme.

Fnacmusic pèse pour sa part 20 % du marché en valeur, et 23 % en nombre de titres hors albums (source Ifop). La plate-forme a vendu 5,5 millions de titres en 2006, ce qui représente une hausse de 80 % sur un an. Fort d'une fréquentation multipliée par 2 en 6 mois, Fnacmusic a également ouvert des espaces publicitaires à l'attention des annonceurs depuis le début de l'année 2007.

Plus confidentiel, MusicMe, qui propose une formule d'abonnement illimité, compte 3.000 abonnés en France, mais vise 20.000 nouveaux comptes d'ici fin 2007. Le site enregistre en effet 80 nouveaux abonnés chaque jour pour un taux de transformation de l'offre d'essai de 75 %.

La guerre des prix est déclarée

MusicMe a opté pour un modèle en rupture : l'abonnement illimité en location.
0,99 euro le titre, 9,90 euros l'album ? Ces deux standards imposés par iTunes sont en passe de tomber en désuétude. Certes, les marges sont serrées et ne permettent probablement pas aux plates-formes de proposer des prix unitaires beaucoup plus bas, mais des offres alternatives commencent à voir le jour.



"Nous proposons une offre fidélité à nos clients. Pour 20 euros d'achat nous leur donnons un avoir de 1 euro", précise Julien Ulrich. Autre formule en vogue : proposer des "bundle" composés d'un ou plusieurs titres accompagnés d'un clip vidéo. Des offres largement relayées dans les rayons physiques des enseignes Virgin. "Le développement du marché passe par une baisse des prix sur les fonds de catalogue", déclare Julien Ulrich. Et ce, quitte éventuellement à relever les prix des morceaux les plus récents. Certaines majors militaient notamment pour cette option, mais elles s'étaient cassé les dents sur le refus en bloc de Steve Jobs, le patron d'Apple.

Les promotions commencent à éclore un peu partout. Chez Fnacmusic, les internautes sont conviés à des Happy Hours. Pour un album téléchargé, le second est proposé à 6,99 euros au lieu de 9,99 euros. Pour trois albums dans le panier d'achat, le quatrième est proposé à 0,99 euro. Le concept des ventes flash s'exporte donc aussi pour la musique numérique.

iTunes de son coté propose depuis peu l'offre "album complet" qui permet au propriétaire d'un morceau d'obtenir le reste de l'album en déduisant le prix du ou des morceaux qu'il a déjà téléchargé. Une offre qui ne coûte rien à Apple et qui incite néanmoins les internautes à acheter un album complet : le single devient donc un véritable produit d'appel.

Joost signe avec de gros annonceurs pour son lancement

Joost, le service de télévision en ligne des fondateurs de Skype et Kazaa, a annoncé jeudi avoir signé des accords avec 32 annonceurs. La liste contient beaucoup de grandes marques, dont Coca-Cola, Nike, Intel, HP au niveau mondial, mais aussi Procter&Gamble aux Etats-Unis ou Vodafone et L'Oréal en Europe. Les annonceurs apparaîtront sur Joost au moment de son lancement officiel, attendu dans les prochains mois. Ils financeront la gratuité du service, dont certains programmes seront visibles uniquement depuis l'Europe ou les Etats-Unis, selon les accords avec les chaînes.

Google devient la première destination en ligne

La fréquentation de l'ensemble des sites Google a dépassé pour la première fois en mars celle des sites Microsoft. Selon les mesures de comScore, elle serait de 528 millions de visiteurs uniques dans le monde, en hausse de 5 % par rapport à février, soit un million de plus que son concurrent, dont les sites gagnent 3,7 %. Le site de partage vidéo YouTube compte pour près d'un tiers du trafic de Google, avec 160,8 millions de visiteurs uniques. Derrière les deux premiers du classement de comScore, viennent Yahoo, avec 473,3 millions de visiteurs uniques, puis Time Warner (qui possède AOL), à 272 millions, eBay (256 millions), Wikipedia (212,1 millions) et Fox Interactive, dont MySpace, avec 151,2 millions.

Emploi webmarketing Maroc - Casablanca

Les offres d'emploi pour les spécialistes webmarketing ou spécialistes Google AdWords au Marco sont tellement rares que je ne peux pas bouder le plaisir de signaler une annonce que sur laquelle je suis tombé :


Chef de projet fonctionnel (Casablanca)

SQLI - Casablanca

www.sqli.fr - 14 avril -

Chefs de projet fonctionnel et Consultants en Web Marketing / Ref SQLIMA-CF

Vous aurez en charge :

- La définition des besoins de nos clients en termes de positionnement et de web marketing
- Le conseil et la définition de stratégie en marketing interactif B2C et B2B pour de grands comptes
- La gestion projet et la coordination d’intervenants (directeur artistique, concepteur rédacteur, …)

De formation supérieure type écoles de commerce, de communication ou de journalisme vous avez acquis au moins 4 ans d’expérience sur des projets Internet.

Envoyez-nous votre dossier de candidature (CV+ photo+ lettre) à jobsmaroc@sqli.com avec la référence mentionnée ci-dessus.

vendredi 27 avril 2007

23 moyens de générer du trafic vers votre site Web

A court d’idées pour générer du trafic sur votre site ? Ces conseils pourront vous aider à attirer plus de visiteurs et à fidéliser vos clients.

Il y a quelques années, promouvoir son site Internet était facile. Il suffisait de placer trois lignes de code appelées « meta tags » en haut de sa page d’accueil et de référencer la page sur les moteurs de recherche ou les annuaires gratuits.

Les temps ont changé. La promotion des sites web est devenue un projet nécessitant beaucoup de temps. Ces 23 conseils peuvent aider votre site Internet à générer du trafic et surtout à retenir vos prospects.

Au préalable, il est très important de définir un plan d’action sur Internet avant de lancer les stratégies suivantes. Utilisez des outils de tracking sur votre site Web pour analyser efficacement la façon dont fonctionne chaque stratégie afin de pouvoir ajuster vos efforts et capitaliser sur ce qui fonctionne le mieux.
Construisez un site internet très professionnel

1. Avant de prendre quelque décision que ce soit, commencez par concevoir un solide business plan (sans oublier la sphère marketing).

2. Soyez cohérent dans votre charte graphique. Utilisez les mêmes couleurs, logo et slogan sur l’ensemble de votre site web.

3. Sécurisez et fiabilisez votre site web. Créez un service clientèle et une charte éthique pour donner confiance aux Internautes.

4. Donner de la valeur ajoutée à votre site en incluant des programmes de fidélisation, un livre d’or et des partenariats comme des liens vers des sites recommandés.

5. Ajoutez un script « Favoris » et « Ajouter à mes favoris » sur certaines de vos pages.

6. Indiquez si vous avez des pages qui sont mises à jour mensuellement (comme des pages « Articles » ou « Liens recommandés »).

7. Ajoutez un module d’inscription à votre e-magazine ou aux annonces concernant votre activité.

8. Pour les sites web importants, créez une page « Nouveautés » ou encore mieux, créez une page « Plan du Site » pour vos visiteurs.

Conseils pour l’intégration de son site sur le moteur de recherche

La majeure partie du trafic vers vos sites web provient des moteurs de recherche. Les moteurs de recherche utilisent les meta tags (tags titre, en-tête, mot-clé) pour répondre aux requêtes des internautes. Il est donc crucial de vous assurer que votre site est bien adapté aux moteurs de recherche. Gardez ces conseils en tête.

9. Title tags (Tags titre) : leur longueur doit être approximativement de 60 caractères et ils doivent inclure quelques mots clés.

10. Les header tags (tags en-tête) sont numérotés de 1 à 7 : certains moteurs de recherche reconnaissent les header tags (tags en-tête), donc assurez-vous que vous utilisez ces tags pour chaque titre de votre page.

11. Les keyword Meta tags (tags mot-clé ): n’ajoutez pas plus de 15 mots-clés pour éviter que les moteurs de recherche ne considèrent que votre site fasse du spamming sur les mots-clés.

Conseils pour la promotion du site web

S’assurer que votre site internet est adapté aux moteurs de recherche n’est pas le seul aspect de la promotion de votre site Internet. Pour promouvoir votre site web :
12. Trouvez des moyens de paiement faciles et sécurisés à proposer à vos clients.

13. Vérifiez régulièrement les liens de votre site internet pour vous assurer qu’ils fonctionnent bien.

14. Proposez des ‘chats’ mensuels ou des blogs pour construire votre communauté interactive.

15. Lancez ponctuellement un concours et annoncez les gagnants sur votre site.

16. Proposez un livre et un rapport électroniques sur votre site. Leur taille n’est pas un problème si vous le proposez gratuitement et s’il est particulièrement pertinent pour votre client idéal. Encouragez les visiteurs à transférer le livre électronique à leurs contacts pour leur usage personnel.

17. Ecrivez des articles, postez-les sur votre site web, et ajoutez-les à vos archives.

18. Créez des quizz ou des enquêtes. Les recherches prouvent que les visiteurs aiment les quizz et les tests de connaissance.

19. Participez à des forums en ligne en tant qu’expert. Vous pourrez promouvoir votre activité discrètement dans votre signature électronique de 3 ou 4 lignes.

20. Intégrez l’adresse de votre site internet à tous vos documents : cartes de visite, brochures, newsletters, en-tête de lettres, signature électronique, publicité, etc.

21. Promouvez l’adresse de votre site internet dans votre signature électronique (modifiez la régulièrement pour mettre en avant vos nouveautés).

22. Proposez des cours ou intervenez dans des conférences sur des sujets qui sont en relation avec vos produits et services.

23. Envoyez un communiqué de presse aux médias, à vos clients, amis, associés lorsque votre site web sera lancé et mis à jour.

jeudi 26 avril 2007

Sites d'emploi enregistrent une augmentation du nombre des visiteurs

Les sites Web de carrière ont été visités par plus de 53 millions d'Européens chaque mois durant le premier trimestre 2007, selon comScore

comScore, un leader dans la mesure du monde numérique, a communiqué aujourd'hui les résultats d'une étude sur les sites Internet de carrière en Europe basée sur les données de son service World Metrix. Selon l'étude, les sites consacrés aux ressources de carrière, la recherche d'emploi, et la formation en ligne ont attiré une moyenne de 53,3 millions de visiteurs européens par mois durant le premier trimestre 2007, une augmentation de 3 pour cent par rapport à l'année précédente et 8 pour cent par rapport au quatrième trimestre 2006.

Monster (dont le siège est aux Etats-Unis) a dominé la catégorie parmi les visiteurs européens, attirant une moyenne de 8,4 millions de visiteurs uniques par mois durant le premier trimestre 2007. La seconde ressource de carrière en ligne la plus visitée en Europe a été les sites de l'ANPE (le site de carrière le plus visité en France) avec une moyenne de 2,9 millions de visiteurs européens par mois. Bundesagentur fur Arbeit (le site de carrière le plus visité en Allemagne) a été le troisième site de carrière le plus visité en Europe avec une moyenne de 2,9 millions de visiteurs européens par mois durant le trimestre, légèrement en dessous des sites de l'ANPE.

Bob Ivins, Directeur général, comScore Europe, a commenté : << Durant la période des vacances, les sites de carrière ont connu leur typique calme saisonnier, mais durant le premier trimestre 2007 ils ont rebondi fortement, avec Monster consolidant sa position de site de carrière leader en Europe. Il semblerait qu'au moment du Nouvel An beaucoup d'Européens se décident à explorer un changement d'emploi, et c'est ce que reflète le trafic croissant constaté durant le premier trimestre. >>

Top des sites de carrière européens, en visiteurs uniques en Europe, de 15 ans ou plus (i) Moyenne mensuelle des visiteurs unique, 1er trimestre 2007 Total pour l'Europe - Domicile et travail Source : comScore World Metrix Moyenne mensuelle Couverture de visiteurs uniques (000) de catégorie au 1er trimestre 2007 (%)(ii) Population Internet totale - Europe 217 532 -- Catégorie Développement et Services de carrière 53 322 100 % Monster 8 428 16 % Sites de l'ANPE(iii) 2 892 5 % Bundesagentur fur Arbeit(iii) 2 890 5 % JOBCENTREPLUS.GOV.UK(iii) 2 753 5 % Totaljobs.com 2 240 4 % (i) Exclut le trafic à partir d'ordinateurs publics tels que les cybercafés ou l'accès depuis les téléphones mobiles ou PDA. (ii) Pourcentage d'utilisateurs de catégorie de carrière qui ont visité le site individuel (iii) Site Web exploité par le gouvernement

A propos de comScore World Metrix

comScore World Metrix est le premier service à mesurer et présenter de façon continue les comportements en ligne dans le monde entier, fournissant des mesures des visites et des caractéristiques démographiques pour les audiences de sites Web de par le monde. Avec une représentation active des pays qui comprennent la vaste majorité de la population Internet mondiale, World Metrix fournit à ses clients des estimations de la population Internet dans le monde entier et des mesures de performance en ligne harmonisées, basées sur une méthodologie cohérente à travers tous les pays. Plus de 100 clients souscrivent au service World Metrix de comScore, notamment 8 parmi le top 10 des agences de publicité interactive.

A propos de comScore

comScore, Inc. est un leader mondial de la mesure du monde numérique. Cette capacité se base sur un échantillon mondial à grande échelle de plus de 2 millions de consommateurs ayant donné à comScore leur permission pour enregistrer confidentiellement leurs comportements de navigation et transaction, y compris l'achat en ligne et hors ligne. Les participants de comScore prennent part également à des sondages qui enregistrent et intègrent leurs attitudes et intentions. Grâce à sa technologie exclusive, comScore mesure les éléments importants à travers un large spectre de comportements et attitudes. Les consultants de comScore utilisent leur connaissance profonde des consommateurs et concurrents pour aider ses clients à concevoir de puissantes stratégies et tactiques marketing apportant un meilleur ROI. Les services de comScore sont utilisés par des leaders mondiaux tels que AOL, Microsoft, Yahoo!, Verizon, Best Buy, The Newspaper Association of America, Tribune Interactive, ESPN, Fox Sports, Nestle, MBNA, Starcom USA, Universal McCann, United States Postal Service, Merck et Expedia. Pour plus d'informations, veuillez visiter http://www.comscore.com.

E-commerce : Des plates-formes aux service des viticulteurs exportateurs

Il existe sur internet des plate-formes marketing destinées aux vignerons désireux de « s'attaquer » au commerce international. Elles mettent à disposition des informations précieuses pour mieux connaître le marché visé, mais doivent impérativement être accompagnées de conseils de spécialistes.

Qu’elles soient développées par le Crédit Agricole d'Aquitaine (Ca-vinexport.com), la Région Languedoc-Roussillon (Septimanie-Export.com), Ubifrance (Ubifrance.fr), ou le Moci (Base Export.com), toutes ces plates-formes sont basées sur le même principe : fournir des informations ou des services de trois types: « marché », « contacts commerciaux » ou informations « pratiques ».

Leur objectif est identique : faciliter les démarches pour l’exportateur. A ne pas être confondre avec les plates-formes dites « d’échanges », ou « places de marché », qui consistent à mettre en relation clients et fournisseurs (par exemple Wine4trade.fr, Global Wine & Spirits, Vinipack, Prowine, etc).

L'accès à ces informations ou services est plus ou moins gratuit en fonction des plates-formes, mais toutes ces bases demandent une inscription préalable. On y trouve alors une grande quantité d'informations, de la simple actualité concernant un pays, à l'étude de marché complète, mais payante. Base-Export.com du Moci propose par exemple, moyennant 305€ par an, un abonnement à 24 numéros de la revue et un accès à sa base de données contenant 200 pays. Pour chacun, 8 axes de recherche : une « enquête pays », une « approche marché », les adresses et coordonnées des missions économiques, la liste des salons professionnels, ainsi que des informations pratiques pour les déplacements professionnels, les documents d’expédition, et les pratiques de dédouanement et de paiements. Ubifrance et le Moci proposent également un site intitulé « Actualites.reglementaires.com ». Moyennant un abonnement annuel de 113€, il donne accès à toute « la réglementation officielle pour faciliter le dédouanement et l’acheminement de vos marchandises » au travers de 8 chapitres, l’ensemble étant indexé par pays, par produit.

plate-formes vignerons

La plus récente d'entres elles, « Ca-Vinexport.com », destinée aux viticulteurs bordelais, est composée par exemple de tableaux comparatifs sur les tendances de consommation par pays, de 2.000 pages sur la consommation, les réglementations et la production des 38 principaux marchés, de 2.000 études de marché en ligne, d’un comparateur de prix de plus de 600.000 références (pour savoir qui vend quoi et à quel prix), d’un service en ligne de création de fichiers d’importateurs, d’un système de veille personnalisée (pour suivre des marchés cibles), d’un outil automatique de recherche des flux (pour connaître les statistiques de ventes en volume et en valeur pour toutes les appellations), d’un moteur de recherche de salons, d’un calculateur automatique de prix rendus (pour projeter ses tarifs sur tel ou tel marché). Son accès est proposé à tous les viticulteurs de la région d’appellation Bordeaux moyennant un abonnement de 60€ par an. « Les premières souscriptions ont été enregistrées le jour même du lancement » signalent le responsable d’Export Entreprise, société qui a développé la plate-forme.

Un contact est nécessaire

Mais ces bases doivent généralement être complétées par un service, qui peut être facturé en plus (en général au temps passé). « Trente services en ligne sont aussi proposés pour approfondir sa connaissance des marchés et faciliter la prospection », précise le responsable d'Export Entreprise.

Pour les concepteurs, cet outil « met le marketing à la portée de tous les viticulteurs et leur permet d’adapter leurs offres aux réalités des marché ». Ludovic Remaury, qui a récemment démarré une société de négoce tournée vers l'export, utilise les services d’Ubifrance depuis le début. Il en est très satisfait, même si une inscription payante est nécessaire. « Pour aller au bout de la démarche, un contact est tout de même nécessaire avec des conseillers export », explique-t-il. Ceci afin de compléter les informations et de prendre conseil.

« Une fois que l’on a acheté l’étude de marché et le listing des importateurs du pays concerné, un gros travail de sélection commence. On épluche le fichier et on en sélectionne environ une cinquantaine. Un « e-mailing » leur est envoyé avec une relance systématique au bout de quelques jours si l’on n’a pas de nouvelles. Suite à ce courrier, nous procédons à un contact téléphonique puis un rendez-vous est programmé, soit dans le cadre d’une tournée, soit dans le cadre d’une mission individuelle ou collective, comme celles organisées par Ubifrance ou les missions économiques des pays » explique le négociant. En résumé, il faut être efficace. « Nous avons toujours eu de très bons résultats suite à ces opérations, et on ne se concurrence pas avec les autres viticulteurs car nous sommes au maximum deux représentants de chaque région lors de ces missions» argumente Ludovic Remaury.

Lancôme séduit une nouvelle cible grâce aux ressources du Web

La marque forme le plus important investissement e-média du groupe L'Oréal.

DOUZE JOURS de « buzz », des « widgets », un parfum pour les créatures virtuelles de Second Life, du e-commerce, des vidéos sur YouTube... Lancôme s'aventure sur bien des territoires inter­actifs. Tant et si bien que la marque représente aujourd'hui le plus gros investissement e-média du groupe L'Oréal. Pour lancer sa gamme de soins Lancôme Men et le parfum Hypnôse Homme, c'est évidemment sur la Toile que ­Lancôme est parti conquérir une nouvelle cible masculine. Le dispositif who-loves-men.com, lancé dans neuf pays européens avant d'être déployé en Asie et aux États-Unis, a été conçu par Business Interactif, qui collabore avec la marque depuis 1997.


« Lancôme veut être un pionnier d'Internet, avec une logique d'information et de service », indique Odile Roujol, directrice générale de Lancôme International. Sélectif, Lancôme joue des ressorts du Web collaboratif plutôt que de pousser le message. Pour Lancôme Men, Business Inter­actif a ainsi déployé une stratégie de conquête par mail, bannières, mots-clés et infiltration de blogs.

Créer de la valeur ajoutée

Cette dernière opération se faisant par « proposition de bannière au bloggeur et non par intervention dans son discours », précise Michel Campan, directeur de marketing interactif de Lancôme, logique de respect oblige. « L'idée n'est pas de mettre en avant un produit, mais de créer une conversation », souligne Jaime Alvear, directeur associé de Business Interactif. « On crée un pont entre la marque de luxe et l'internaute. Puis on va plus loin dans la relation », précise Michel Campan qui a investi dans cette campagne près de 10 % du budget Internet mondial de la marque.

La base de clients construite avec Lancôme Men sera également exploitée pour lancer Hypnôse. Lancôme a préféré offrir un parfum virtuel aux résidents de Second Life plutôt que de créer une boutique dans ce monde. « En tant que leader sur Internet, on ne peut pas suivre le mouvement. Il faut créer de la valeur ajoutée », insiste Michel Campan, qui promet déjà une nouvelle campagne interactive d'envergure.



---------------------------------------------------------------------------------

A l’occasion du lancement international du nouveau parfum masculin de Lancôme, Hypnôse Homme, Lancôme a demandé à Business Interactif de mettre en place un dispositif puissant, à la conquête des hommes.

Le site d’Hypnôse Homme, est en ligne depuis le 19 mars (pour le Portugal, l’Espagne et l’Italie), sur lesite internet de Lancôme (www.lancome.com), avant d’être intégré à un site plus global, exclusivement réservé aux hommes (début avril). Il sera lancé en France dès le 1ermai 2007.

L’animation online Hypnôse Homme a été créée autour du film publicitaire réalisé par Wong Kar-Wai. Il met en scène le porte parole du parfum et de la nouvelle gamme homme, Clive Owen, et propose auvisiteur une expérience interactive unique : devenir le propre réalisateur de sa découverte.

Ainsi, le site Full Flash, reprenant les codes du cinéma et de ses coulisses permet de prendre le contrôled’un banc de montage et de pénétrer au cœur même du film « image par image » pour y découvrir des séquences cachées.

Making of collector uniquement diffusé online, goodies exclusifs, gamme complète à gagner… Autantd’éléments faire apparaître, « du bout du doigt », grâce à un jog offrant une expérience de navigationludique et attractive.

Business Interactif, à travers ses cellules Bi-Media et I Base, est également en charge du dispositif médiaonline qui vise à séduire une cible masculine mais également féminine par sa vocation de prescription.

Campagne internationale de recrutement, emailing, mots clés et bannières donnent une forte visibilité à l’animation et développent la base de prospects Homme, en s’appuyant sur un concours événementielpermettant de gagner un coffret Hypnôse Homme.

Buzz marketing : LANCÔME propose “www.who-loves-men.com”

Pour le lancement online de sa nouvelle ligne de soin anti-âge pour hommes, Lancôme Men, Lancôme signe avec Business Interactif l’une des campagnes de buzz online les plus énigmatiques de la saison.

A l’occasion du lancement international de Lancôme Men, Lancôme et son agence Business Interactif dédient aux hommes un nouveau « cyberespace » où prend vie l’une des campagnes de buzz online les plus énigmatiques du secteur du luxe.

Un site de buzzmarketing évocateur de l’univers

Ce dispositif original utilise comme point d’accroche la question : « Who Loves Men ? ».

Le principe, très simple, veut que chaque internaute parte à la découverte du site et soit séduit par son univers d’évocation. Séduction, magie, luxe, high-tech et bien être…sont dévoilés au fur et à mesure de la campagne. La révélation de la marque et le renvoi vers son site officiel signent in fine l’opération.

Un dispositif média online fort et multi leviers

Afin de recruter massivement une cible masculine urbaine à fort pouvoir d’achat, la stratégie Européenne prévoit la mise en place des campagnes d’emailing dans chacun des pays relayant le buzz. En effet, la courte durée de la campagne de teasing (12 jours) nécessitait l’utilisation d’un levier permettant de recruter rapidement plusieurs centaines de milliers de contacts, tout en réalisant un ciblage précis en adéquation avec l’image de Lancôme. Ce dispositif emailing conçu par IBASE a été soutenu par des campagnes des liens sponsorisés et de bannières, orchestrées par BI Média.

Les équipes de création de l’agence ont misé sur une interface sophistiquée et une mise en scène surprenante permettant aux visiteurs de plonger dans l'univers mystérieux de la marque.

Campagne internationale de recrutement, emailing, liens sponsorisés et bannières permettent de donner une forte résonance au buzz dans chacun des pays, en s’appuyant également sur un concours événementiel ainsi que sur une logique de parrainage qui permet d’accroître ses chances de gain.

Une campagne monde, déclinée sur tous les continents

La campagne « Who Loves Men ? » visible sur le site www.who-loves-men.com se déroule dans un premier temps durant une quinzaine de jours sur 9 pays d’Europe (Espagne, Italie, Portugal, Allemagne, Norvège, Suède, France, Danemark, Grande-Bretagne,) de mars à mai 2007, puis sera découverte cet été en Asie et sur le continent américain.

who loves men

Une mécanique séductrice et joueuse

La mécanique de la campagne s’articule autour de la séduction et du jeu…
Et pour séduire l’homme internaute, Lancôme leur offre la possibilité de remporter un ensemble Home Cinéma complet.

Autour d’une véritable énigme, le buzz « Who Loves Men ? » se déroule en 4 étapes sous forme de questions envoyées chaque jour par email. Les hommes veulent ils :
- MAITRISER le temps, l’espace ou l’information ?
- ENTENDRE le naturel, l’horizon, le monde ?
- CONTEMPLER la vibration, l’éclectisme, l’harmonie ?
- RESSENTIR la passion, l’atmosphère, la vitesse ?

A chaque question, une offre ludique apporte des réponses possibles sous forme de widgets : Players MP3, Flux RSS textes et vidéos, télécommande ITunes, station météo…

Ces widgets permettent à tous les participants de doter leur ordinateur d’un desk hightech, pratique, design et évolutif. A chaque actualité de la marque et même au-delà de la campagne, le design et les fonctionnalités de ces collectors se renouvelleront de façon automatique.

Au travers de ce dispositif évolutif et interrogatif, la marque souhaite installer avec l’internaute un lien intime et émotionnel et provoquer de nouvelles envies en offrant une expérience inédite à son public ciblé : les hommes.

…La révélation : « Vaincre le temps », avec…Lancôme

L’ultime tableau intitulé Vaincre le temps révèle la signature et les promesses de la gamme : « Lancôme Loves Men ». « Parce que Lancôme sait ce que veulent les hommes ». Elle dévoile également l’incarnation de l’homme Lancôme : Clive Owen, acteur britannique hypnotique, qui se glisse parfaitement dans le rôle d’ambassadeur Lancôme Men. Son allure élégante et sa personnalité charismatique donnent instantanément vie au concept. Clive Owen est apparu dans plusieurs films plébiscités par la critique et le public, notamment « Gosford Park », « Closer », « Le Fils de l’Homme », « Sin City ».
Le site de buzz s’ouvre alors sur le site consacré à la nouvelle gamme anti-âge pour homme de Lancôme : Lancôme Men.

A propos de Business Interactif
Premier groupe indépendant du marketing interactif en France, Business Interactif intègre les savoir-faire marketing, technologiques et médias permettant la conception et la réalisation de stratégies digitales globales : campagnes emailing de recrutement et de fidélisation, liens sponsorisés, référencement naturel, programmes d’affiliation, création de sites web.
Implantée à Paris, New York, Tokyo et Shanghai, le Groupe compte parmi ses clients de grandes références de l'économie : Accor, Airbus, Areva, Bic, Carrefour, Chronopost, le Comité International Olympique, EDF, Lancôme, Lagardère, L'Oréal, Nestlé, Groupe PPR, Groupe SEB, Renault, Société Générale,Vente-Privée.com...
Business Interactif a réalisé un chiffre d'affaires 2006 de 29 millions d'euros et est cotée à l'Eurolist d'Euronext (Code
ISIN FR0000076051). Webformance, leader européen du référencement naturel et I Base, un des leaders de l’email
marketing sont des départements spécialisés du Groupe.

Lancôme à l’avant-garde du web
« Worldwide web by Lancôme » est la nouvelle signature de Lancôme sur l’ensemble de ses sites. Lancôme détient aujourd’hui le premier ensemble de sites dans l’univers du luxe avec 25 sites dont 13 marchands. Sept nouveaux sites marchands vont bientôt ouvrir au Brésil, au Mexique, au Danemark, en Norvège, en Belgique, en Suisse ainsi qu’au Canada. En 2006, Lancôme a touché 30 millions d’internautes à travers ses sites. Les recettes consolidées des sites marchands ont connu en 2006 une évolution de +20% par rapport à 2005. Aux Etats-Unis, le site marchand de Lancôme est la première « boutique » en chiffre d’affaire.
Lancôme est par ailleurs leader sur le web participatif avec notamment la présence d’Hypnôse Homme sur le site Second Life ainsi que les sites de « video share » pour lesquels la marque crée des films spécifiques. Les derniers en date sont les films de Juicy Tubes Tunes et de Hypnôse Homme qui sont visibles notamment sur les sites YouTube et Daily Motion. De nombreux autres films vont être mis en ligne prochainement…

mercredi 25 avril 2007

Concept car Peugeot : concours de design 2007

4 000 projets déposés, 115 000 votants et un gagnant qui verra son prototype créé et exposé à l'occasion du salon de Francfort.

Comme chaque année, Peugeot a lancé un grand concours de design dans le monde entier. Plus de 6 300 participants ont tenté leur chance. 30 projets ont été présélectionnés par Peugeot et ont ensuite été soumis au vote des internautes et des journalistes. Six lettres résumaient la philosophie de cette quatrième invitation à la créativité : P.L.E.A.S.E. !

Plaisir pur de conduire par sa
Légèreté et son
Efficacité en restant
Accessible par sa
Simplicité et
Ecologique dans son concept

Mihai Panaitescu, 20 ans, étudiant roumain en design à l'I.E.D. à Turin, a remporté le 4e concours de design 2007 Peugeot. Son trophée lui a été remis au salon de Genève, il gagne aussi 6 000 euros et son modèle sera présenté au salon de Francfort .

Voici les 5 premiers concepts :

Vainqueur : le concept car Flux

Mihai Panaitescu, 20 ans, étudiant roumain en design à l'I.E.D. à Turin, a remporté le 4e concours de design 2007 Peugeot. Son trophée lui a été remis au salon de Genève, il gagne aussi 6 000 euros et son modèle sera présenté au salon de Francfort . Totalement dédié au plaisir automobile, ce modèle contient aussi une console Xbox 360. Sa motorisation à l'hydrogène lui permet d'assurer zéro bruit et zéro émission de CO2. Rendez-vous en septembre pour la présentation grandeur réelle.

concept car Flux

2e : le concept car N Jooy

Wesley Saikawa a dessiné un concept car dédié au plaisir. Inspiré des anciennes Formule 1, le N Jooy ne contient qu'un seul siège... un prototype endièrement conçu pour le plaisir du conducteur.

concept car N Jooy

3e : le concept car Allscape

Monstre de puissance, le Allscape allie sportivité et écologie. Gustavo Ferrero, du Venezuela a designé un véhicule complet, capable aussi bien de s'aligner au départ de courses que de se promener en ville ou dans la nature.

concept car Allscape

4e : le concept car LiiON

Mélange entre voiture et moto, Christian Sano, Roumanie, a souhaité concevoir un véhicule dont le design plairait à tout le monde. Avec ses 3 roues, le Liion allie l'agilité d'une moto et la sécurité et la stabilité d'une voiture.

concept car LiiON

5e : le concept car CUB

Ka Dan, de Chine, a conçu le CUB comme une nouvelle idée du design made in Peugeot. Energie propre et puissance, le CUB ne fait qu'un avec "notre nouvel environnement" selon le concepteur.

concept car CUB

Les mots clés les plus recherchés au premier trimestre 2007

Personnalités, films, e-commerçants, services en ligne, peer-to-peer, jeux en ligne…

Quels ont été les mots clés les plus recherchés au premier trimestre 2007 aux Etats-Unis et en France ? L’actualité politique a-t-elle pesé sur les recherches des internautes français en ce début d’année ? Y a-t-il des différences notoires entre les différents moteurs de recherche et entre la France et les Etats-Unis ?

Le point avec le palmarès des requêtes par moteur.


Google US

Sur Google US, starlettes et people se partagent, pour l'essentiel, le top 10 du classement des mots clés les plus recherchés au premier trimestre 2007. La pole position revient d'ailleurs au film Blades of Glory qui est resté à la tête du box office américain plusieurs semaines. Et l'engouement des internautes américains pour l'univers du cinéma ne s'arrête pas là. Hayden Panettiere, prochaine héroïne du film Tiresflies in the Garden, arrive en troisième position, suivie par l'adaptation cinématographique des transformers et la chanteuse Gwen Stefani. Seules exceptions : Ron Jeremy, aujourd'hui davantage recherché sur la Toile pour ses chroniques technologiques que pour ses prestations dans des films X ; et la Xbox 360 elite, qui devrait sortir aux Etats-Unis la semaine prochaine.

Top 10 des mots clés les plus recherchés sur Google US
Rang Mots clés
1 Blades of glory
2 Ron Jeremy
3 Hayden Panettiere
4 Transformers
5 Gwen Stefani
6 Cesar Chavez
7 xBox 360 elite
8 Happy Feet
9 Discovery channel
10 Allegra Versace
Source : Google / 1er trimestre 2007

Google France

En France en mars, les préoccupations sont très différentes. Les starlettes sont loin d'être à l'affiche. A leur place, des entreprises dont l'activité est liée à Internet. La première d'entre elles est d'ailleurs l'opérateur télécom Orange, suivi à la troisième place par le groupe média NRJ, bien implanté sur Internet mais aussi sur le secteur des mobiles. Autres entreprises largement recherchées sur le Web en mars dernier : le vépéciste La Redoute (6ème position), mais aussi le courtier en ligne Boursorama qui dorénavant est aussi un réseau bancaire (7ème position), Allocine (8ème), ainsi que Air France (9ème position). Un réseau social se distingue également : Facebox, aujourd'hui devenu Netlog.

Les phénomènes de mode ne sont toutefois pas totalement absents de ce classement : le groupe de musique allemand Tokio Hotel s'adjuge la deuxième place, tandis que Naruto, le dessin animé japonais le plus téléchargé en P2P et dont la saison 2 vient de sortir à l'étranger, arrive en 10ème position.

Top 10 des mots clés les plus recherchés sur Google France
Rang Mots clés
1 Orange
2 Tokio hotel
3 nrj
4 vidéo
5 facebox
6 Redoute
7 Boursorama
8 Allocine
9 Air France
10 Naruto
Source : Google France / mars 2007

Yahoo US

Les utilisateurs de Yahoo US privilégient quant à eux l'éclectisme, avec une légère préférence toutefois pour les compétitions de sport. Le Master de golf d'Augusta, dont les épreuves se déroulent début avril, s'adjuge en effet la première position sur le premier trimestre 2007, suivi à la troisième place par les championnats d'ultimate fight (UFC), un sport de combat où tous les coups sont permis ou presque, puis par un site de catch (WWE). Les fêtes de Pâques sont également bien représentées, puisque ce mot clé s'arroge la deuxième place du classement. Autres requêtes à la mode parmi les utilisateurs de Yahoo US : le peer-to-peer avec l'éditeur de logiciels Limewire, et les jeux virtuels tels que RuneScape et Clubpinguin.com, dédié aux enfants. Un classement auquel il faut ajouter quelques peoples tels que les chanteuses Beyonce et Avril Lavigne.

Top 10 des mots clés les plus recherchés sur Yahoo US
Rang Mots clés Score en points Evolution
1 The Masters 239 - 276
2 Easter 238 - 18
3 UFC 188 + 93
4 WWE 164 - 28
5 Beyonce Knowles 148 - 13
6 Limewire 143 + 4
7 RuneScape 134 - 7
8 Internal Revenue Service 111 - 5
9 Avril Lavigne 101 - 15
10 Clubpenguin.com 101 - 21
Source : Yahoo US / 1er trimestre 2007

Yahoo France

En France, l'instantané des recherches effectuées en mars 2007 sur Yahoo est, par contre, beaucoup moins composite. Une thématique ressort très nettement dans les requêtes des internautes : la musique, que celle-ci soit associée à des chanteurs (Akon, Vitaa, Shakira, Nelly Furtado, Avril Lavigne, Mika) ou à une émission musicale très populaire, la Nouvelle Star. A noter tout de même trois autres thématiques : le sport avec l'Olympique de Marseille, une série télévisée avec Plus belle la Vie et, tout de même, la vie politique française avec Nicolas Sarkozy qui ressort en 6ème position.

Top 10 des mots clés les plus recherchés sur Yahoo France
Rang Mots clés Score
1 Akon 246
2 Vitaa 207
3 Shakira 181
4 Olympique de Marseille 177
5 Plus belle la vie 173
6 Nicolas Sarkozy 149
7 Nelly Furtado 148
8 Avril Lavigne 144
9 Mika 138
10 Nouvelle star 124
Source : Yahoo France / Mars 2007

AOL US

Tout comme les utilisateurs de Google US, ceux d'AOL US sont très préoccupés par l'actualité et la vie des peoples. La première d'entre ceux-ci est une apprentie chanteuse, Malakar Sanjaya, qui s'est illustrée dans l'émission American Idol, l'équivalent américain de la Nouvelle star. Viennent ensuite des acteurs ou actrices comme Christina Ricci, Kelly Lebrock, mais aussi un film avec John Travolta, Wild Hogs, une chroniqueuse politique (Ann Coulter) et un écrivain/dessinateur, Dr Seuss. Plus étrange est la recherche sur le triangle scalène, une figure géométrique qui arrive en cinquième position.

Top 10 des mots clés les plus recherchés sur AOL US
Rang Mots clés
1 Sanjaya
2 Christina Ricci
3 Wild Hogs
4 Kelly Lebrock
5 Scalene Triangle
6 Barba
7 Kellie Pickler
8 Ann Coulter
9 Movie showtimes
10 Dr. Seuss
Source : AOL US / 1er trimestre 2007

Lycos US

Les utilisateurs de Lycos sont tout aussi frivoles que ceux de Google ou d'AOL. Avec une particularité toutefois. A un intérêt certain pour les peoples comme Paris Hilton ou Britney Spears s'ajoute un engouement pour les jeux : qu'ils soient d'argent, comme le poker qui arrive en première position du classement, ou virtuels comme les Pokemon et Runescape. Plus largement, les loisirs occupent une place importante dans les recherches des utilisateurs de Lycos. Myspace est le deuxième mot clé le plus recherché par ces internautes. Plus loin figurent Disney (7ème place), Golf (8ème), et comme les utilisateurs de Google France, le manga Naruto. Enfin, signalons un certain souci de la sécurité : le mot spyware arrive en troisième position des recherches effectuées au premier trimestre.

Top 10 des mots clés les plus recherchés sur Lycos US
Rang Mots clés
1 Poker
2 Myspace
3 Spyware
4 Paris Hilton
5 Pokemon
6 Britney Spears
7 Disney
8 Golf
9 Runescape
10 Nurato
Source : Lycos US / 1er trimestre 2007

Ask.com

Changement de ton avec les utilisateurs d'Ask.com. Ces derniers sont nettement plus pragmatiques. Exit les starlettes. A l'exception de Myspace qui arrive en première position, leurs requêtes portent essentiellement sur des services pratiques tels que la définition d'un terme, la météo, la recherche de voitures, les sites de conversion des principales mesures, des recettes, des sites de musique classique ou encore des sites de jeux ou de plaisanteries.

Top 10 des mots clés les plus recherchés sur Ask.com
Rang Mots clés
1 Myspace
2 Definition
3 Local Weather
4 Cars
5 Anime
6 Conversion chart
7 Jokes
8 Recipes
9 Music Lyrics
10 Games
Source : Ask.com / 1er trimestre 2007

Hitwise

Pour la société de mesure d'audience Hitwise, qui agrège les recherches sur tous les moteurs de recherche, c'est Paypal qui s'impose en mars 2007 avec 5,3 % des requêtes, chiffre auquel il faut ajouter, pour être complet, les requêtes sur Paypal.com (1,74 %). Le secteur de l'automobile est également très bien placé, les marques les plus recherchées étant Honda, Toyota, Nissan et Ford. A noter également, le secteur de l'alimentaire illustré par Pizza Hut, mais aussi celui de la télévision avec CNN et celui du cinéma avec Netflix.

Top 10 des mots clés recherchés sur l'ensemble des moteurs
Mots clés Score en %
Paypal 5,3
Honda 2,23
Toyota 2,07
Pizza Hut 1,94
CNN 1,90
Paypal.com 1,74
Nissan 1,68
Ford 1,58
Pet Food recall 1,38
Netflix 1,19
Source : Hitwise / mars 2007

Google détrône Microsoft au classement des marques les plus puissantes

Réalisé par la société d'études Millward Brown, ce classement calcule le potentiel de création de valeur financière d'une marque. Il se base notamment sur les chiffres rendus publics par les entreprises et sur l'appréciation de leurs clients.

Pour la première fois, Google coiffe le classement Millward Brown Optimor (disponible au format PDF) des marques commerciales les plus fortes dans le monde en 2007, tous secteurs d'activités confondus.

Ce classement, réalisé par la société d'études Millward Brown, calcule le potentiel de création de valeur financière d'une marque. Il se base notamment sur les chiffres rendus publics par les entreprises et sur l'appréciation de leurs clients. Notons que la valeur établie de la marque ne correspond pas à sa valorisation boursière.

La société internet américaine détrône Microsoft, relégué en troisième position (derrière General Electric). «Google est une marque absolument phénoménale, dans le sens où elle est perçue comme étant synonyme de leadership et d'innovation», décrypte Peter Walshe, directeur spécialiste des marques mondiales chez Millward Brown.

La marque "Google" est valorisée à plus de 66 milliards de dollars, soit près du double par rapport au classement établi en 2006. Microsoft, troisième, se voit attribuer une valeur de 55 milliards de dollars. Les acteurs des TIC suivants sont China Mobile (5e place), IBM (9e place), Nokia (12e), HP (15e) et Apple (16e).

Autre fait notable en 2007: c'est la deuxième année consécutive qu'une marque du secteur des TIC s'impose en tête, devant des géants tels que Coca-Cola, Marlboro et Toyota. Par ailleurs, sur les 100 entreprises listées, le secteur de la finance est le plus représenté (1 marque sur 4), suivi des technologies (1 sur 5) et de la vente au détail.

Plusieurs facteurs peuvent aider une entreprise à améliorer la valeur de sa marque, comme l'innovation, explique Peter Walshe, d'où le grand potentiel des acteurs dans les nouvelles technologies. «Le public juge les marques IT intéressantes, les apprécient et les admirent.»

Durex recrute ses testeurs de préservatifs sur le Web

Déçu de la sincérité des réponses lors d’enquêtes de terrain, la marque du groupe SSL Healthcare a déployé un vaste dispositif de communication online. 20.000 internautes vont tester le dernier né de ses préservatifs.

Pas simple pour un fabricant de préservatifs d'obtenir des informations utiles sur ses produits. Le sujet est intime, laissant planer des doutes sur la fiabilité des informations recueillies par des enquêtes consommateurs, que ce soit en tête à tête ou en groupe. "Il est difficile d'obtenir de vraies informations sur le sujet, témoigne Emma Berger, directrice marketing de SSL Healthcare. Parler en détails de ses relations sexuelles n'est pas toujours socialement valorisant, et les gens sont souvent gênés. Mais Internet casse cette barrière car personne n'est en face de pour vous juger, c'est pour cela que nous avons eu l'idée de recruter des testeurs sur le Web pour réaliser une enquête 100 % en ligne".

Pour tester le média, SSL Healthcare, maison mère de Durex, a décidé de récolter les avis consommateurs des internautes sur son dernier produit, Pleasuremax. Le projet est ambitieux, Durex souhaite en effet recruter 20.000 testeurs. Et pour cela, la marque a besoin d'attirer vers elle au moins 35.000 personnes afin de pouvoir composer un échantillon représentatif de ses clients. Et en particulier les 18/25 ans, qui sont près de 60 % à utiliser des préservatifs et qui totalisent 50 % du marché.

Durex choisit de jouer la carte du viral avec un dispositif allant du 27 mars au 30 avril. La société commence par créer un site, Durextesteurs.fr, sur lequel les internautes peuvent s'enregistrer pour recevoir un préservatif gratuit et participer à l'enquête. En prime, Durex propose trois vidéos humoristiques, des e-cards, ainsi qu'un lien vers son site marchand, qui depuis le début de l'opération a quadruplé son audience et doublé ses ventes.

Pour le faire connaître, Durex a principalement axé son plan média sur des sites de rencontre pour jeunes, comme Spiceyou.com ou Meexup ainsi que des sites relayeurs de tendances, comme MySpace, Novaplanet.com et Technikart.com. Les formats choisis sont les bandeaux et/ou l'habillage de pages.

En outre, des hommes sandwich distribuant des affichettes promouvant le site ont écumés les campus et universités des 5 plus grandes villes étudiantes de France : Paris, Bordeaux, Lille, Toulouse et Lyon. Au total, 40.000 de ces affichettes pensées comme des coupons d'offres de services à découper, comme on en trouve chez des commerçants, ont été distribuées. Enfin, cinq panneaux d'affichage en 4X3 ont été disposés dans Paris.

A quelques jours de la fin de l'opération, Durex prévoit 150.000 connexions en un mois. Pour Emma Berger, l'objectif de ce dispositif est avant tout de connaître la perception du produit et les expériences produit de ses utilisateurs. "Cela nous coûte plus cher que si nous avions mis en place des enquêtes de consommation classiques. Mais nous pensons que les résultats seront plus fiables, ce qui sera bénéfique tant pour nos équipes techniques que marketing". Au total, plus de 60.000 personnes se sont inscrites, soit bien plus que n'en escomptait Durex, qui avait pourtant monté ce vaste dispositif en craignant de ne pas atteindre le quota qu'il s'était fixé.

Yahoo! Search Marketing : Informations importantes au sujet de la mise à jour de votre compte

Hier Yahoo! Search Marketing ont envoyé une lettre d'information pour expliquer les nouveautés de la plateforme Panama :

Cher annonceur,

Nous vous avions annoncé il y a quelques mois l'arrivée d'une nouvelle plateforme de gestion améliorée de vos liens sponsorisés. La date de lancement de cette nouvelle plateforme de gestion approche. Celle-ci comporte des fonctionnalités avancées et conviviales qui vous aideront à générer encore plus de contacts qualifiés sur le réseau de distribution Yahoo! Search Marketing.

Prenez le temps de vous informer sur l'assistance que nous mettons à votre disposition afin de bien gérer la transition de votre compte actuel vers votre nouvelle plateforme de gestion.

Nous avons testé minutieusement nos systèmes pour vous garantir la meilleure qualité de service après la mise à jour de vos comptes.

Vous serez informé de cette date de mise à jour une semaine auparavant. Vous pourrez également accéder à une prévisualisation de votre compte mis à jour. La prévisualisation vous permettra de vous familiariser avec les nouvelles fonctionnalités et l'aspect du nouveau tableau de bord. Si vous êtes satisfait de la prévisualisation, nous vous encourageons à mettre à jour votre compte durant cette semaine. En procédant de la sorte, vous vous assurerez que votre compte mis à jour ressemblera précisément à la prévisualisation.

De nombreuses ressources seront disponibles pour que votre transition se fasse en douceur. L'Espace Nouveautés avec ses conseils, ses tutoriaux et ses questions fréquentes vous permettra de découvrir les nouvelles fonctionnalités ainsi que les meilleures pratiques de gestion de votre nouveau compte Yahoo! Search Marketing. Vous trouverez toutes ces ressources dans l'Espace Nouveautés à l'adresse dunouveauchezyahoosearchmarketing.yahoo.fr

Notez que le classement des liens sponsorisés ne sera pas modifié au moment des mises à jour. Ils resteront classés par enchère comme ils le sont aujourd'hui. Nous modifierons au cours des prochains mois le système de classement des annonces pour tenir compte de leur qualité en plus de leur enchère. De plus amples informations à ce sujet vous seront fournies avant ce changement.

Votre nouveau compte mis à jour sera régi par un nouvel ensemble de Conditions Générales Annonceurs qui prendra effet au moment de sa mise à jour. Nous vous recommandons de cliquer ici et d'imprimer ces Conditions Générales Annonceurs pour vous assurer que vous les acceptez. Merci de bien vouloir les lire attentivement afin d'être sûr(e) qu'elles correspondent bien à vos attentes. N'hésitez pas à nous contacter par retour d'email pour toute remarque ou contestation concernant cette notification. Sachez qu'en cas de silence de votre part pendant une période de 4 semaines à compter de réception de cette communication, nous considérerons que vous avez accepté ces nouvelles Conditions Générales Annonceurs.

Nous nous réjouissons de mettre la nouvelle plateforme de gestion à votre disposition.

Cordialement,
Yahoo! Search Marketing

La mesure d'audience sur Internet cherche sa norme

Sous la pression des annonceurs, comScore et Nielsen//NetRatings - deux prestataires de statistiques sur la fréquentation des sites Web - semblent prêts à faire auditer leurs méthodes.

L'Internet Advertising Bureau (IAB), qui regroupe les principaux acteurs de la publicité sur le Web, vient de demander aux spécialistes de la mesure de fréquentation des sites d'accorder leurs violons. L'association d'annonceurs vise aussi bien les techniques de mesure site-centric (calcul du nombre de pages vues et du nombre de visites) que user-centric (mesure de l'audience, en visiteurs uniques par mois, des sites).

Dans le premier cas, il s'agit de dénoncer les erreurs induites par l'utilisation de cookies. Une étude publiée le 16°avril par comScore (lire l'encadré) affirme ainsi que la surestimation du nombre de visiteurs uniques peut atteindre 150 %. Dans le cas des mesures user-centric, l'IAB espère cette fois clarifier les méthodologies de comScore et de NetRatings, afin de mieux connaître les différences qu'elles amènent. Dans une lettre ouverte datée du 20 avril, l'IAB souhaite plus précisément faire auditer leurs méthodes de calcul par l'organisme Media Rating Council (MRC), mis en place par le Congrès américain.

Analyse de flux contre analyse de comportement

Car si les deux prestataires analysent les comportement d'un panel d'internautes, leurs logiciels installés sur le poste client ne regardent pas la même chose. NetRatings s'intéresse aux actions du paneliste, alors que comScore regarde le flux qui transite entre le PC et les serveurs Web, via un proxy. comScore se base sur un panel captif de deux millions d'individus dans le monde.

Quant à NetRatings (Mediamétrie//NetRatings dans l'Hexagone), il revendique 9°000 panelistes en France. «°Tous nos résultats sont pondérés par rapport à l'étude de cadrage Enumeration Survey, qui mesure le nombre d'internautes et dresse leur profil°», explique Benoît Cassaigne, directeur du département Internet et téléphonie mobile chez Médiamétrie//NetRatings. Un recadrage dont comScore ne parle pas.

Un audit oui, mais par deux organismes différents

Quelle que soit leur philosophie, Nielsen//NetRatings et comScore se déclarent prêts à présenter leurs méthodes de mesure user-centric en toute transparence. C'est en tout cas ce que l'on peut comprendre de leurs réponses respectives à l'IAB, envoyées le 23 avril.

Nielsen//NetRatings, par la voix de son président, estime que sa méthodologie a déjà passé des tests préliminaires du MRC et qu'il tente maintenant de suivre un système de validation développé conjointement avec le comité de recherche dudit organisme. comScore se déclare également prêt à faire toute la lumière sur sa méthodologie. Mais lui, via l'Advertising Research Foundation. Cette association, également nord-américaine, regroupe depuis 1930 annonceurs et agences média, qu'ils soient spécialisés dans les campagnes publicitaires sur Internet ou dans le monde réel.

------------------------------------------------------------------------------
La suppression des cookies fausse la donne

comScore relance le débat sur l'inutilité des mesures site-centric basées sur des cookies. Le prestataire a analysé le contenu de 40°000 ordinateurs aux etats-Unis, durant le mois de décembre 2006. Ses équipes se sont rendues compte que 31 % des internautes supprimaient les cookies déposés lors de leurs visites. Ce fichier texte destiné à l'authentification de l'utilisateur est soit spécifique à un site Web (first party cookies), soit utilisé par les annonceurs pour suivre les internautes sur plusieurs sites (third party cookies).

Dans près d'un tiers des cas, l'étude a trouvé qu'une moyenne de 4,7 first party cookies , issus d'un unique et même site, arrivent sur chacun des ordinateurs. comScore a également observé des utilisateurs (7 % des sondés) qui détruisaient leurs cookies au moins quatre fois par mois. Résultat, la moyenne de cookies différents pour un même site passe à 12,5 ! Ce niveau se retrouve également avec les third party cookies.

Quant aux biais des études site-centric, ils ne troublent que les Américains. «°Nous savons bien que cette mesure est extrêmement précise pour compter les pages vues, mais pas pour connaître le nombre de visiteurs°», explique Benoit Cassaigne. Et de supposer que la polémique outre-Atlantique sur les cookies vient de la percée tardive de cette méthodologie sur ce continent.

L'engouement pour le Web 2.0 se maintient

La semaine dernière, plus de 10 000 participants se sont rassemblés à « Web 2.0 Expo » à San Francisco. L'intérêt des investisseurs pour les jeunes pousses d'Internet reste entier.

En novembre dernier, le salon « Web 2.0 Summit », rassemblé à San Francisco, avait connu un grand succès, en réunissant les entrepreneurs les plus influents et en étant contraint de refuser jusqu'à 5 000 participants. Tim O'Reilly, l'organisateur de l'événement, leur avait donné rendez-vous ces jours-ci à « Web 2.0 Expo », un autre salon. Cette manifestation qui vient d'avoir lieu à San Francisco, se voulait à la fois plus technique et plus grand public. Le père de l'expression Web 2.0 le décrit comme « un rassemblement de la renaissance d'Internet et de toute l'industrie informatique ». Elle fut l'occasion de vérifier que l'engouement des investisseurs et des entrepreneurs pour le Web 2.0 (des sites collaboratifs, s'appuyant sur le contenu généré par les internautes, sur leurs avis, etc.) ne se dément pas.

Web 2.0 Expo, ce furent quatre jours de conférences, de rencontres sur les stands des exposants et dans les couloirs, ainsi que la chance pour une demi-douzaine de jeunes sociétés de faire leurs débuts au « Launch Pad » (là où les jeunes pousses se présentent aux investisseurs). En novembre dernier, Jean-Noël Chamart était venu de Suisse pour présenter Venyo, son système de gestion de réputation en ligne . « C'était un peu prématuré, je n'avais même pas de démo. Mais le Launch Pad nous a donné de la crédibilité et aidé à trouver des investisseurs ».

Web 2.0 Summit

Cette fois, l'entrepreneur cherche des partenaires, des sites communautaires qui voudront intégrer son service. « Il y a beaucoup de grosses sociétés qui sont venues se renseigner car elles sentent que quelque chose leur échappe et qu'il y a un filon à exploiter. En tout cas, l'euphorie continue », ajoute Jean-Noël Chamart.

Pas de bulle en vue

Scott Blomquist confirme. L'homme travaille pour Vidoop , une société sélectionnée pour le Launch Pad, et dont le système d'authentification permettra d'éliminer les mots de passe multiples. « Nous nous étions fixés de lancer Vidoop à la Web 2.0 Expo et nous avons été retenu parmi 240 candidats », explique-t-il fièrement. Pour cette société basée dans l'Oklahoma, la conférence est une occasion de se plonger dans une ambiance féconde.

Parmi les vétérans du Web 2.0 Summit on reconnaît aussi Tony Conrad, ancien capital-risqueur et fondateur de Sphere, un moteur de recherche de blogs . « Il y a de très bonnes idées en ce moment, c'est sûrement dû au fait que nous sommes tous des utilisateurs d'Internet depuis longtemps maintenant. En fait, ce sont souvent d'anciennes idées : créer des communautés et publier son contenu. Il faut simplement que nous fassions attention à ne pas être trop en avance sur les utilisateurs ».

Quant à une éventuelle nouvelle bulle Internet, Tony Conrad en repousse l'idée. « Cette fois, les choses ne sont pas aussi extrêmes et, ayant survécu au dernier désastre, les gens ont acquis des mécanismes pour ne pas se laisser emporter. » Il date la reprise des affaires et le réchauffement du climat financier aux rachats d'Oddpost par Yahoo! et de Blogger par Google entre le début 2003 et le milieu de l'année 2004.

« Entre 2000 et 2003, il n'y avait aucun intérêt pour les compagnies s'adressant au grand public », confirme David Hornik, partenaire dans la firme de capital-risque August Capital. « Mais aujourd'hui on sent qu'il y a des profits à réaliser et les investisseurs sont de nouveau intéressés. » Les coûts de lancement d'une start-up Web 2.0, relativement modestes, contribuent au phénomène. Un autre capital-risqueur, Josh Kopelman de la société First Round Capital, résume : « On peut se planter plus vite et pour moins cher ».

France Telecom : Orange lance 'Orange Travel'

Orange, la filiale de France Telecom, annonce le lancement d'Orange Travel en France. Cette offre apporte de meilleurs tarifs, plus de simplicité et plus de confort pour appeler depuis l'étranger, annonce l'opérateur. Elle est destinée aux vacanciers ou aux voyageurs d'affaires.

Orange Travel garantit une baisse de 15%, en moyenne, des tarifs en Union Européenne et des offres proposant des réductions de 25 à 60% supplémentaires. Le service sera lancé avant l'été dans tous les pays où Orange est présent avec des offres adaptées aux spécificités de chaque pays.

Au-delà des offres tarifaires adaptées à la façon de voyager des clients, Orange Travel offre le même confort d'appel à l'étranger que sur le territoire national. Par exemple, avec Orange Travel, il n'est pas nécessaire de devoir sélectionner manuellement le réseau pour profiter des meilleurs tarifs. De même, la messagerie vocale fonctionne quel que soit le pays visité et son accès s'effectue le plus souvent grâce au même numéro court. Le service-client est également joignable, dans la plupart des cas, via le même numéro court qu'en France.

Alice n'est pas à vendre affirme son P-DG

Le fournisseur d'accès internet Alice «n'est pas à vendre»: Carlos Lambarri, le patron de la filiale française de Telecom Italia, met les points sur les i pour faire cesser les spéculations sur l'avenir de la société.

Depuis la confirmation du rachat de Club Internet par Neuf Cegetel, la plupart des analystes estiment qu'Alice n'a pas les reins suffisamment solides pour résister au mouvement de concentration sur le marché français. D'autant que la concurrence entre les trois grands - Orange, Neuf Cegetel et Free - va se déplacer sur le terrain de la fibre optique.

La stratégie de Telecom Italia est «transnationale», a expliqué Carlos Lambarri à l'AFP. D'où la présence de filiales en France, en Allemagne et aux Pays-Bas. Le dirigeant ne prévoit pas non plus d'investissements massifs dans un plan de déploiement de la fibre, considérant que cette technologie ne sera pas une alternative à l'ADSL dans les années à venir.

lundi 23 avril 2007

La stratégie référencement de France 24

La chaîne d'information, lancée en fin d'année 2006, s'est investie dans le référencement dès la conception de ses sites. Suivi des différentes étapes dans la course à l'optimisation.

Filiale de TF1 et de France Télévision, la chaîne d'information internationale France 24 a été lancée le 6 décembre 2006. 450 personnes travaillent pour cette chaîne, dont le siège se situe dans la ville d'Issy-les-Moulineaux (92). Sa caractéristique principale : la diffusion, en simultané, en langue française, anglaise et arabe.

Le site Internet applique la même présentation. "Internet est au cœur de la stratégie de France 24. Lors de son lancement, la chaîne a été disponible pendant 24 heures uniquement sur le Web, avant le lancement officiel sur le câble et le satellite", indique Guillaume Desnoës, responsable partenariats et promotion Internet et nouveaux médias de France 24.

Le contenu a été conçu dès le départ pour convenir aux deux médias. Le site se décline donc sous trois versions : française, anglaise et arabe.

Le prestataire LSF Network, spécialiste en référencement, a été sélectionné en même temps que Nurun, l'agence Web choisie pour la construction du site. "Les deux prestataires sont arrivés ensemble dans la même réponse à notre appel d'offres. C'était important pour nous que l'accent pris par la Web agency sur l'ergonomie et le design soit mis en balance directement avec la vision du référenceur. En plus d'être user friendly, le site devient search engine friendly", avance ainsi Guillaume Desnoës.

Des besoins spécifiques

Le positionnement du site d'actualité dans les moteurs de recherche se devait d'être conforme à deux critères formulés par France 24 : être présent sur les requêtes génériques sur l'activité du site et figurer sur les requêtes liées à l'actualité.

Le positionnement de France 24 offre au site d'actualité deux possibilités : un référencement traditionnel et un référencement direct sur les moteurs de recherche d'actualité, type Google News.

Le site Web de France 24 propose des vidéos d'information internationale, avec très peu de contenu texte, un point faible compensé par l'interface interactive du site, proposant aux lecteurs la possibilité de réagir aux articles ou de se rapprocher des présentateurs via les blogs. "De visu, le site ressemble beaucoup plus à Youtube ou Dailymotion qu'à un site d'information classique", décrit le responsable chez France 24.

Les challenges

- Les vidéos s'avèrent des éléments difficiles à référencer. Pour rappel, les robots des moteurs de recherche ne peuvent pas indexer la vidéo en tant que telle. Le site compense ce manque avec la mise en ligne d'articles annexes liés avec la vidéo, qui deviennent un point d'entrée pour les moteurs et les visiteurs.

- Une publication permanente de sujets d'actualité. Le besoin de référencement se trouve immédiat. "Nous devons placer le site dès le départ sur de l'actualité brûlante", précise Guillaume Desnoës. Une problématique d'autant plus grande que, à l'inverse d'un site e-commerce par exemple, qui se référence sur sa gamme de produits limitée, les thèmes de référencement du site d'actualité sont soumis à des changements constants.
- Les concurrents de France 24 sont en place et reconnus par les moteurs. CNN, BBC ou encore Aljazeera, les groupes de presse ont du poids et leur présence sur le Web n'est pas nouvelle. Une ancienneté qui pèse pour Google, qui préfère positionner les anciens en priorité. Un handicap pour France24, qui doit prouver au moteur sa notoriété et sa légitimité dans le secteur de l'information.

- Dernière problématique importante : la langue arabe. "Les moteurs sont moins développés en arabe. Les prestataires ont donc moins d'expérience, ce qui complique la tâche. Mais ce marché plus jeune permet au site de bénéficier d'une concurrence allégée", estime Guillaume Desnoës.

Une formation adaptée au quotidien

LSF est intervenu dès les premières esquisses de la maquette de France 24. Le prestataire a participé à la rédaction du cahier des charges, en fournissant des recommandations sur le projet Nurun.

Une fois les sites mis sur pied, le rôle de LSF a évolué vers celui de conseiller. Un spécialiste de LSF intervient aujourd'hui directement dans les locaux de France 24 pour former les journalistes aux techniques d'optimisation.


En effet, ces derniers sont directement liés à la mise en place d'une optimisation du contenu. Les journalistes sont donc accompagnés quotidiennement dans cette tâche.

Parmi les éléments étudiés : titres, méta données, nom d'url… "Cet expert nous accompagne également dans une démarche éditoriale et nous aide à améliorer la sélection des futurs dossiers spéciaux", ajoute Guillaume Desnoës.

Netlinking et linkbaiting

Amener le plus de liens possibles sur son site : voilà une méthode efficace pour créer du trafic et améliorer sa position dans les moteurs. Plus le lien entre les deux sites est utile, plus le trafic sera pertinent et les moteurs de recherche évalueront positivement le site. France 24 met donc en place des méthodes pour favoriser au mieux ces liens entrants.

Premier point : faciliter la création de liens avec la mise à disposition d'une gamme de boutons de différentes tailles, amenant vers la page d'accueil, vers les différentes rubriques ou encore vers les flux RSS de France 24.

Pour donner aux éditeurs de sites l'envie de créer un lien, la chaîne a pensé à tout : "Nous avons créé un buzz autour du lancement du site ce qui nous a permis d'avoir des liens entrants dès le démarrage", dévoile Guillaume Desnoës. Et le site ne s'est pas arrêté là. Une attention toute particulière est portée par le groupe vers les articles des "blogueurs", qu'ils relaient via le blog de France 24, The Observer. La création d'une communauté reste la démarche la plus active et la plus rapide dans la création de liens entrants.

Utilisation des moteurs verticaux

Les moteurs de recherche classiques n'ont pas été les seules cibles dans la conquête de visibilité du site d'information. L'utilisation des moteurs de recherche vidéo a également accompagné la stratégie de référencement.

"Nous avons signé un contrat d'indexation avec Yahoo et Blinkx, qui proposent tous deux un moteur de recherche vidéo", détaille Guillaume Desnoës.

Les flux RSS n'ont pas été délaissés : ces derniers ont été placés dans les agrégateurs de types Netvibes. Par ailleurs, le site propose un service de bookmarking social sur son blog, service qui sera étendu au site général sous peu. Un effet indirect sur le référencement permettant la création de notoriété.

L'importance du suivi

Avec une évolution permanente, le positionnement des sites sur les moteurs de recherche est régulièrement suivi. A partir de l'outil de tracking fourni par LSF Interactive, les requêtes sont étudiées et analysées.

En fonction des besoins et des positions, les actions sont redéfinies en conséquence.

Ainsi, toutes les deux semaines, France24 choisit de réorienter ou non ses positions, par exemple en décidant de pousser sa stratégie de netlinking ou de crosslinking sur une requête afin d'influencer son indexation.

Les performances de l'e-mail marketing

Parce qu’efficace et d’un faible coût, l’e-mail marketing a très vite séduit les départements marketing des pure players mais aussi des grands groupes. Pourtant, en raison de la multiplication des campagnes, mais aussi du spam, les performances de l’e-mail marketing se sont quelque peu essoufflées en France comme aux Etats-Unis.

Comment évolue cette tendance sur le premier trimestre 2007 en France ? Assiste-t-on toujours à une baisse importante du taux d’ouvreurs et de cliqueurs ? Qu’en est-il du taux de NPAI (n’habite pas à l’adresse indiqué) et du taux de désabonnement ? Sur ces principaux indicateurs, observe-t-on des variations sensibles d’un secteur à l’autre ? Quels sont les facteurs permettant d’améliorer ses campagnes d’e-mailing.

Le point en chiffres avec Emailing Solution.


Des performances qui se stabilisent

Après une année - entre 2004 et 2005 - de baisse importante du taux d'ouvreurs et de cliqueurs (- 19 et - 25 %), la baisse a été beaucoup plus modérée en 2006. Une tendance qui se poursuit sur le premier trimestre 2007. Le taux d'ouvreurs (nombre d'ouvreurs uniques / nombre d'e-mails aboutis) perd 4,44 points à 27,09 %, tandis que le taux de cliqueurs (nombre de cliqueurs uniques / nombre d'e-mails aboutis) cède 1,62 points à 6,08 %. Le taux de réactivité quant à lui (taux de cliqueurs / taux d'ouvreurs) qui traduit l'empressement des internautes à cliquer sur les mails ouverts, perd 2,35 points à 22,09 %.

Une baisse du taux de NPAI

Autre fait marquant de ce début d'année : la baisse du taux de NPAI (n'habite pas à l'adresse indiquée). De 10,71 % au premier trimestre 2006, celui-ci est passé à 8,72 % au premier trimestre 2007, soit près de 2 points de moins. Un recul dû en grande partie au perfectionnement des outils de gestion de bases de données (assainissement, correction d'adresses, etc.) qui limitent le nombre d'adresses erronées. Parallèlement, les annonceurs privilégient de plus en plus les envois ciblés et pertinents. Dans le même temps, le taux de désabonnement (en jaune) est quasiment stable. Il passe de 0,12 % au premier trimestre 2006 à 0,15 % sur les trois premiers mois de l'année.

Les marchés publics, roi de l'ouverture

Ces grandes tendances, comme la baisse du taux d'ouvreurs, se retrouvent dans tous les secteurs d'activité. Mais des différences sensibles existent d'un secteur à l'autre. Celui des marchés publics, par exemple, se caractérise par un taux d'ouvreurs très élevé (36 %) soit seulement 2 points de moins que pendant toute l'année 2006. Une conséquence de newsletters avec un fort contenu informatif. Autre secteur à afficher un taux d'ouvreurs important : la banque et l'assurance (34 %). Un chiffre qui s'explique par la personnalisation des messages. Enfin, signalons la troisième place d'un nouveau venu dans le classement d'Emailing Solution : la distribution. Avec un taux d'ouvreur de 33,3 %, ce secteur se situe au dessus de la moyenne du marché. Trois principales raisons à cela : une forte notoriété, une relation de confiance assez ancrée, et des bases de données saines et segmentées. Le tourisme en revanche s'illustre par une baisse du taux d'ouvreurs. Une conséquence sans doute de bases encore insuffisamment segmentées.

Un taux de cliqueurs en hausse pour la banque et l'assurance

Une analyse du taux de cliqueurs par secteurs montre par ailleurs qu'il n'est pas partout en baisse. La branche qui s'en sort le mieux est encore une fois la banque et les assurances. Le taux de cliqueurs y atteint 10,03 % au premier trimestre 2007, soit 0,26 point de plus que la moyenne de ce secteur sur l'année 2006. Ce qui contribue à compenser la baisse du taux d'ouvreurs. Tout de suite après vient la distribution avec un taux de cliqueurs de 9,33 %, puis les marchés publics avec un taux de cliqueurs lui aussi en augmentation : 7,89 % contre 7,32 % sur l'année. A contrario, la plus forte baisse du taux de cliqueurs revient au secteur du luxe qui passe d'une moyenne de 12,98 % en 2006 à 5,33 % au premier trimestre. Tout l'enjeu de ce secteur se situe donc dans le développement de campagnes de plus en plus ciblées.

Banques, tourisme, media, rois de la réactivité

Le taux de réactivité n'est pas lui non plus partout en berne. Trois secteurs se distinguent par des taux de réactivité importants et en hausse. C'est le cas en premier lieu de la banque et de l'assurance où le taux de réactivité gagne 5,5 points pour presque franchir la barre des 30 %. Outre la distribution, le tourisme s'illustre également par de bons taux de réactivité, celui-ci atteignant 25,6 % au premier trimestre 2007. La diversité et l'attractivité des offres jouent un rôle majeur dans ce résultat. Enfin, le secteur des médias et de la presse affiche également une forte hausse de la réactivité (+ 4,33 points). Un résultat qui s'explique par une forte demande d'information en temps réel de la part des internautes.

Personnalisez le sujet du message

Comme le suggère l'analyse sectorielle des taux d'ouverture, de clic et de réactivité, la personnalisation du sujet de l'envoi a un impact relativement important sur le taux d'ouvreurs. Sans personnalisation, le taux d'ouvreurs d'un message est de 27 % révèle Emailing Solution, contre 34 % lorsque celui-ci est personnalisé. Ce facteur ne se suffit toutefois pas à lui même prévient Emailing Solution. Il sera d'autant plus efficace que la segmentation de l'envoi sera fine.

Faîtes court

Le nombre de caractères dans le sujet du message joue également un rôle déterminant dans l'ouverture d'un courrier électronique. Lorsque ce dernier fait plus de 35 caractères, le taux d'ouvreurs est de 26,23 % alors qu'il atteint 33,69 % lorsqu'il est inférieur à 35 caractères.

Augmentez le nombre de liens

Autre facteur permettant d'optimiser les performances de sa campagne d'e-mailing : le nombre de liens dans l'e-mail. Celui-ci influence en effet directement le taux de clics. Alors qu'il est de 5 % sur un e-mail comportant moins de 10 liens, il est de 11 % sur un courrier électronique qui en compte plus de 10. Selon Emailing Solution, plus le nombre de liens est important, plus le nombre de clics le sera également.

Personnalisez le message

Comme la personnalisation du sujet de l'e-mail, la personnalisation du message aura un effet sur le taux de clics. Celui-ci est toutefois nettement moins important. Alors que le taux de cliqueurs est de 7,1 % pour un message non personnalisé, il est de 8,2 % pour un message qui le sera. La personnalisation du message ne suffit donc pas à elle seule. Elle s'accompagne également d'une segmentation fine de sa base.

Attention au jour d'envoi

Le jour d'envoi a également un impact sur les taux d'ouverture et de clics d'une campagne. Selon Emailing Solution, les taux d'ouvreurs et de cliqueurs maximum ont lieu le mardi : 33,4 % d'ouvreurs et 9,9 % de cliqueurs. Autre jour de grande disponibilité des internautes : le jeudi. Le taux d'ouvreurs y est de 31,5 % et le taux de cliqueurs de 9,5 %. Les week-ends, en revanche, sont moins propices à l'ouverture des mails ainsi qu'aux clics sur leur contenu, de même que les lundi et vendredi, jours de réunion ou de RTT. Une tendance que l'on retrouve, pour les mêmes raisons, le mercredi.

"Sarkozy.fr": une informatique sur mesure pour le site du candidat de l’UMP

Zoom sur l'organisation de l'informatique de campagne de Nicolas Sarkozy, avec les explications du responsable du site du candidat. Moyens, outils, méthodes et fonctionnement d’une "petite entreprise temporaire" hors norme, aux multiples contraintes.


Pour cette campagne présidentielle 2007, les sites web des candidats sont devenus de véritables enjeux. Pour présenter les programmes, les partis ont compris la nécessité de monter un véritable "SI" (système d'information) temporaire mais efficace, complet mais souple. Un vrai défi. Des projets informatiques ont donc été lancés, réunissant spécialistes et prestataires plus classiques.

L'informatique web de la campagne de Nicolas Sarkozy comporte ainsi trois niveaux, comme l'explique à ZDNet.fr Eric Walter, responsable du site de l'UMP. «Le premier niveau, en interne, mobilise un webmaster senior et deux juniors (l'un travaille sur le développement, l'autre sur le design et l'ergonomie). Le deuxième est une régie technique, assurée par un prestataire - la SSII Globalis - (lire l'encadré "Focus") mais piloté par nous-mêmes. Au troisième niveau, on trouve les agences externes, sollicitées pour des projets spécifiques: l'Enchanteur des Nouveaux Média, Adven, ZGroup (pour NSTV) et Easter Eggs». Ce dernier a notamment travaillé sur la newsletter du site, basée sur logiciel libre «dont nous reverserons les développements», tient à préciser E. Walter.

Rapidité, réactivité et convivialité

Principale contrainte: «des délais de développement extrêmement courts», tranchant avec les projets informatiques classiques. «En entreprise, on planifie, alors que là tout se joue sur une réactivité extrême». D'où la nécessité, à un moment ou un autre, de repousser des projets trop importants, «comme celui d'un moteur de recherche interne à tous les sites de campagne, basé sur Synomia. Ou celui d'un lecteur de synthèse vocal, ReadSpeaker», constate E. Walter.

Un candidat peu porté sur les nouvelles technologies, à l'instar de Nicolas Sarkozy, est-il une contrainte supplémentaire? Pas vraiment, officiellement du moins: «sa seule exigence, répétée à plusieurs reprises, est de ne pas surestimer la capacité des internautes (leur maîtrise du Net, Ndlr)». Et donc de ne pas opter pour une ergonomie compliquée, afin de rendre le site accessible à tous les publics.

Un dispositif technique pointu

Le web d'un candidat tenant le leadership dans les sondages, et désormais qualifié pour le second tour, doit par ailleurs être au diapason. «Nous avons 8 serveurs frontaux en tout, dont 4 pour le site de campagne, hébergés chez Agarik. Les vidéos du site sont quant à elles hébergées chez Yacast».

Une solution nécessaire, au vu des chiffres du site: «Au 19 avril, pour les 10 derniers jours, nous sommes passés de 70.000 à 110.000 vidéos vues par jour». Le site web dans l'ensemble chauffe aussi: «au 18 avril, notre moyenne/jour est passée de 35.000 à 80.000 visiteurs uniques».

Et de compléter, ce 23 avril: «Nous n'avons pas encore les chiffres, mais nous avons enregistré une fréquentation énorme hier soir». Ce qui impose de se donner un peu de marge de manoeuvre: «Nos tests de montée en charge montrent que le système tient jusqu'à des capacités multipliées par 10». Cependant, un réel ralentissement enregistré la soirée du 22 avril, demeure incohérent. Une attaque de pirates? «Nous n'excluons aucune possibilité... », nous répond Eric Walter.

Du côté des ressources humaines, l'équipe web interne a mobilisé le webmaster senior sur cette question. «Il s'occupe notamment, en permanence, du dimensionnement et de l'optimisation de l'architecture serveurs.» Et le travail avec les prestataires ne s'est pas fait dans le vide, mais sur la base d'un cahier des charges précis.

Une expérience "pro" hors norme

Le rythme horaire est aussi très exigeant pour tout le personnel. «Il y avait de la pression pour les équipes mobilisées, avec de grosses journées pouvant atteindre 11 heures», note Frédéric Hovart, chef de projet chez Globalis. «Pour assurer une disponibilité du site 24h/24», rebondit E. Walter, qui a terminé à plusieurs reprises à 4 heures du matin.

Une expérience gagnante/gagnante, professionnellement parlant, pour ce rôle de "DSI temporaire"? «Mon parcours est celui d'un autodidacte. Je suis passé auparavant par la culture, le commerce international, puis le monde des opérateurs téléphonique. Ce que j'ai vécu là me servira forcément», résume-t-il. Tout en se voyant de fait poursuivre son parcours, une fois les élections achevées, dans «l'internet et le numérique».

En tout cas, pour l'heure, l'accalmie fait suite à la frénésie pour l'équipe. «Le dispositif est désormais posé», confirme aujourd'hui Eric Walter. Seuls des projets «courts» naîtront peut-être d'ici au second tour... «Des micro-développements», complète-t-il, précisant vouloir «surtout renforcer la sécurité de l'ensemble et analyser la soirée du point de vue web».

jeudi 19 avril 2007

Enchère à coût voulu est un nouveau système d'enchère AdWords

Google vient d'annoncer aujourd'hui le lancement d'un nouveau système d'enchère sur les AdWords, l'enchère à coût voulu (preferred cost bidding)

L'enchère à coût voulu est un nouveau système d'enchère AdWords qui vous permet de définir le montant moyen à payer, plutôt que le montant maximum que vous êtes prêt à dépenser pour chaque clic ou pour mille impressions.

Le principe pour les annonceurs c'est de fonctionner par prix des mots clés au lieu de fonctionner position de l'annonce. Mais à mon avis ça revient à la même chose au final.

Voici l'explication officielle de Google de ce nouveau système :

Qu'est-ce qu'une enchère à coût voulu ?

L'enchère à coût voulu est une nouvelle façon de gérer le coût de vos annonces AdWords. Vous choisissez le montant moyen que vous souhaitez payer par clic (une enchère de CPC préférée) ou pour mille impressions (une enchère de CPM préférée). Le système AdWords s'efforce alors automatiquement d'atteindre le prix ciblé.

Par exemple, si votre analyse indique qu'un clic sur votre annonce ciblée par mots clés vaut 0,60 € pour votre entreprise, vous pouvez définir une enchère de CPC préférée de 0,60 €. Le système AdWords ajustera alors votre annonce en fonction des impressions spécifiques pour faire en sorte que votre CPC moyen réel soit aussi proche que possible de 0,60 €. Votre annonce peut être placée dans une plage de positions car le système s'efforce d'atteindre le coût voulu.

En revanche, les enchères AdWords traditionnelles vous permettent de définir les enchères de CPC ou de CPM maximum. Vous indiquez le montant maximum que vous souhaitez payer pour chaque clic (pour les campagnes ciblées par mots clés) ou pour 1 000 impressions (pour les campagnes ciblées par sites). Vous paierez alors un montant inférieur ou égal à l'enchère maximum que vous avez indiqué.

Avec ces deux options d'enchères (enchère à coût voulu et enchère de coût maximum), vous ne payez que pour les clics ou impressions entrant dans le budget que vous avez choisi.

Qui doit utiliser l'enchère à coût voulu ?

L'enchère à coût voulu est une option d'enchère avancée disponible pour les campagnes ciblées par mots clés et par sites. Si vous poursuivez les objectifs suivants, l'enchère à coût voulu peut être la stratégie d'enchères la mieux adaptée à votre cas.

Je connais la valeur de chaque clic ou de chaque impression pour mon entreprise. (En savoir plus sur la manière de déterminer la valeur des clics ou impressions.)
Je préfère cibler un montant moyen par clic ou pour 1 000 impressions plutôt que de spécifier le montant maximum que je suis prêt à dépenser.
Je souhaite que mes frais publicitaires AdWords soient plus cohérents et qu'ils ne changent pas d'un jour sur l'autre.
Je ne souhaite pas suivre et ajuster en permanence mes paramètres d'enchères. Je souhaite que Google s'occupe de mes différentes enchères de sites et définies par mots clés en respectant le budget que j'ai défini.
Si l'enchère à coût voulu semble être l'option la mieux adaptée à votre cas, découvrez comment passer aux enchères de CPC préférées pour les campagnes ciblées par mots clés, ou aux enchères de CPM préférées pour les campagnes ciblées par sites.